Description
- Rhum agricole de l’ïle Maurice
- Sucre de canne
- Grains de café
- Vanille
- 32% Vol.
32,00 €
« Raffiné, mystérieux, bien rangé sous clé »
Né entre deux feux et une cargaison de grains volés, ce rhum n’est ni doux, ni brutal : il séduit, puis frappe. Le café y est noir, dense, sans détour. Mais au lieu de finir dans l’amertume, il est lié au caramel, cette douceur collante qui t’attache à la bouteille comme une malédiction sucrée.
C’est la liquide caresse du matelot insomniaque, la gorgée qui remplace le dessert… et la confession.
Nez :
Riche et suave. Notes intenses de café fraîchement infusé, caramel doré, sucre brûlé, un soupçon de vanille et de rhum. Gourmandise sèche.
Bouche :
Ample, ronde, mais pas écœurante. L’attaque est caféine pure, presque brute, immédiatement suivie d’un caramel doux et fondant qui enrobe l’ensemble. Belle alliance entre l’amertume du café et la douceur du sucre.
Finale :
Persistante, chaude, avec un retour moka-caramel bien équilibré. Une petite note boisée ou torréfiée en fin de bouche, comme le souvenir d’un feu de camp.
« Ce rhum fut découvert dans un tonnelet cerclé d’argent, enfoui dans la cale du “Calavera Roja”, navire fantôme disparu au large de Tortuga.
On dit qu’il appartenait au quartier-mestre Vanel Dross, un marin silencieux dont les comptes étaient plus précis que la lame d’un sabre. Chaque nuit, avant d’inscrire ses chiffres, il sirotait une gorgée de son trésor : un rhum noir, infusé de café, adouci par du caramel fondu dans la gueule d’un canon chauffé.
Certains jurent que dans le silence, on peut encore entendre le cliquetis de sa cuillère en or, et le grincement du coffre qu’il n’ouvrit qu’avec le dernier souffle.
Ce rhum, c’est sa part d’or. Son ultime butin. Son silence liquide.»
Poids | 1,1 kg |
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Volume d'alcool | 32 % Vol. |
Contenance | 70 cl |
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